Articles de journaux

Voici un article trouvé sur 20minutes.fr, d'une adepte du zéro déchet concernant l'interdiction des plastiques et de la vaisselle jetable.

http://www.20minutes.fr/planete/1466563-20141023-interdiction-sacs-plastiques-vaisselle-jetable-vraiment-fait-grand

Cette personne Pauline, 24 ans, a déjà écrit plusieurs articles sur son nouveau mode de vie, sur ce même site internet.

http://www.20minutes.fr/planete/1352621-20140415-changement-climatique-decide-plus-produire-aucun-dechet

merci Sianna !

Merci Sianna. Je l'avais aussi lu ce matin et bien aimé la réponse apportée par cette Pauline.

Merci Sianna, du coup, je l'ai relayé sur mon blog !!

http://www.consoglobe.com/san-francisco-ville-zero-dechet-cg?

un article sur Consoglobe qui pourrait vous plaire
à bientôt

Ce exemple fait rêver et montre que si les politiques s'en mêlent, c'est possible. C''est d'autant plus remarquable que les américains ne sont pas sensibilisés à l'écologie comme le sont les européens. La preuve que cela peut évoluer...

Vu dans le TGV magazine du mois de novembre: un article sur le magasin "La recharge" à Bordeaux.

Aaahhrrggg !!! C'est a 60 bornes de chez moi mais j'ai vraiment trop envie d'y aller. Il me faudrait une bonne excuse pour aller faire un saut à Bordeaux. 
En plus ils vendent des brosses à dents en bois compostables. Je vais bien trouver quelqu'un pour aller m'en acheter une ou deux ....

Voici le lien d'un article sur un conseiller municipal qui aspire à appliquer le zéro déchet dans sa ville Roubaix : http://www.lavoixdunord.fr/region/a-roubaix-son-surnom-c-est-monsieur-zero-dechet-ia24b58797n2466353

Je viens de trouver un article concernant le BPA, je vous laisse le parcourir...
http://www.breizh-info.com/20065/sante/comment-eviter-la-presence-de-bpa-et-bps-dans-les-aliments/

Merci Fredgehin. J'ai relayé l'article sur ma page facebook. Il rejoint ce que j'ai lu dans le numéro spécial de 60 millions de consommateurs d’aout septembre sur lequel je m'appuie.

merci Potiron,

je ne connaissais pas ce n° HS de 60 millions de consos, je vais le commander, et je pense que je vais le prendre en version papier pour pouvoir le laisser trainer sur la table du salon, en croisant les doigts pour que dd18 ou d'autres finissent par l'ouvrir ou pour le prêter

Mari_o, autant te dire qu'il décoiffe ce numéro J'ai déjà fait quelques articles sur mon blog en m'appuyant sur lui. Bon après, tu regardes tes poêles, tes moules, tes baskets et tout ce qui t’entoure de travers !!!
Si tu arrives à le faire ouvrir à quelqu'un conseilles lui directement les dernières pages qui contiennent la liste des horreurs que l'on trouve dans ce que l'on achète....

je viens de tomber sur un article qui me conforte dans mes changements "de vie" :

Une vingtaine de résidus de perturbateurs endocriniens, en moyenne, essentiellement des pesticides, ont été trouvés dans les cheveux de 28 femmes d'Ile-de-France en âge de procréer, indique une enquête rendue publique jeudi par l'association Générations Futures.

En moyenne, 21,35 perturbateurs ont été retrouvés par femme, dont 19,42 pesticides, précise l'étude. Le nombre de résidus par échantillon de cheveux va de 12 au minimum à 32 au maximum.

L'enquête, basée sur l'analyse de cheveux d'une population restreinte et volontaire, vivant en milieu urbain, ne prétend pas être représentative de l'exposition moyenne des femmes d'Ile-de-France.

Elle visait cependant à montrer "la réalité de l'exposition de la population à des cocktails de perturbateurs endocriniens" susceptibles de perturber le bon fonctionnement hormonal, a déclaré François Veillerette, porte-parole de Générations Futures, au cours d'une conférence de presse.

"Ce qu'on retrouve dans les cheveux, c'est des substances passées dans le sang dans les trois derniers mois", a-t-il souligné.

Générations Futures veut "tirer la sonnette d'alarme" et interpeller les politiques "au niveau national et européen".

Les PE, que l'on trouve couramment dans les aliments, les contenants alimentaires, les produits en plastique, les meubles, les jouets, des matériaux de construction et les cosmétiques, pourraient favoriser cancers, diabète, obésité, maladies de la reproduction et retards de développement cérébral.

Les foetus sont plus particulièrement menacés, en raison du transfert des PE de la mère à l'enfant, selon des études ayant montré qu'ils pouvaient augmenter le risque de malformations du système reproducteur.

Soixante-quatre substances ont été recherchées, dont 54 pesticides ou métabolites de pesticides, 6 retardateurs de flammes bromés et 4 PCB (polychlorobiphényles). Les analyses ont été réalisées début 2015 par un laboratoire luxembourgeois spécialisé dans l'évaluation de l'exposition des populations aux polluants et les effets de cette exposition.

Sept substances (5 insecticides, un fongicide, un herbicide) ont été retrouvées dans tous les échantillons. Parmi ces substances, plusieurs sont interdites en France, comme le Gamma HCH (lindane), l'hexachlorobenzene (HCB) ou la trifluraline.

Quinze substances ont été repérées dans au moins la moitié des 28 échantillons. Vingt-et-une n'ont été retrouvées dans aucun d'entre eux.

- Pression des lobbies -

Au niveau individuel, la journaliste Marine Jobert, coauteur avec M. Veillerette d'un livre intitulé "Perturbateurs endocriniens - La menace invisible", sorti jeudi, a délivré des "conseils d'hygiène chimique", appelant à "revenir à des choses simples" comme l'usage du savon, du bicarbonate de soude, de l'inox...

L'association appelle le gouvernement à faire de l'élimination des PE de notre environnement "un axe majeur de sa politique de santé environnementale".

Elle déplore que la Commission européenne n'ait toujours pas défini ses critères d'identification des PE, un retard qui lui vaut d'être visée devant la justice européenne par un recours en carence intenté par la Suède.

"La pression des lobbies (de l'industrie chimique, NDLR) a arrêté complètement le processus qui devait définir des critères, avant d'exclure des perturbateurs endocriniens pouvant être nocifs pour l'homme", a affirmé M. Veillerette.

L'exposition humaine aux PE coûterait au moins 157 milliards d'euros par an dans l'Union européenne, selon une étude controversée parue début mars.

Générations Futures a publié précédemment trois autres enquêtes sur l'exposition au PE: sur les insecticides organophosphorés à usage domestique (2013), les pesticides dans les fraises (2013), les PE dans les cheveux des enfants (2014).
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Waouh ça fait peur, merci pour les infos Regi !

Regi, tu tombes à pic !
Ce midi, j'ai essayé de parler un peu à mes collègues du zéro déchet, de Béa, de mes bocaux, résultat : mais "il faut du temps", "j'ai pas le temps", "c'est un retour au Moyen âge" et "j'ai pas le temps de courir dans pleins d'endroits pour trouver mes produits" (ce que je ne fais pas d'ailleurs car Label Vie = 45mn/1h trajet compris 1 fois/semaine et Day by Day occasionnellement et à moins de 2 kms de notre boulot, c'est tout!).
Ca m'a un peu désespérée d'autant qu'elles ont 1 (+3 rapportés), 3 et  4 = 11 enfants, et moi 0 !!
Je pensais qu'on se posait + de questions sur l'avenir en tant que parents... Je comprends que gérer boulot et famille soit déjà trop mais aucune envie d'en savoir plus ou de comprendre l'intérêt du truc...
Bref, en lisant ton compte rendu de l'article, ça m'a énervée (la situation affligeante, pas ton post bien sur!)  et ça me fait dire que j'ai raison de me poser des questions sur les cochonneries que je consomme (souvent à mon insu) et comment les éviter.
Alors Merci Regi pour le coup pied au *** !

Je crois qu'on se pose des questions quand on a des problèmes...
Ici on a plein de problèmes d'allergies de peau : on a fait du tri dans la salle de bains.
On a eu des soucis financiers : on a repensé la cuisine/les courses.

Du coup je ne sais plus qui avait dit "il faut voir un intérêt direct". Oui, et ces articles le montrent. Le changement est URGENT !

lilie, j'aurai dis que l'on se pose des questions peut etre quand inconsciemment on cherche un but à sa vie à l'améliorer. (ce qui est mon cas)
je n'en étais pas réellement consciente et pourtant quand ma soeur ma parlé de cette américaine et de sa façon de faire les choses j'ai retourné ca dans ma tete et puis j'ai fais des recherches sur internet et je n'avais qu'une hate qu'elle me prete le livre.
donc la curiosité à commencé au retour des vacances d'été dernier et mis en application les principes bio (au début) puis je suis passée au sans emballage progressivement à mon retour de vacances
et j'ai eu le livre à noel dernier (je l'ai dévoré pendant ma semaine de vacances) .
et depuis je cherche à chaque fois à améliorer ce qui peut encore l'etre.

je ne sais pas si vous avez regardé il y avait une émission hier soir sur France 5 sur la nourriture et les pesticides ...
ca confirme bien que notre démarche n'est pas folle et qu'il faut éviter au max toutes ces cochonneries.
je ne regrette pas d'etre passée au bio. je culpabilise quand meme de ne pas y etre passée plus tot pour mes enfants (3 et 6 ans).

Tous les dimanche soir (environ), il y a un documentaire de ce type sur France 5.
Il y a eu sur l'aluminium, le mercure, la farine, les semences, la viande y passe souvent.

C'est devenu notre routine du dimanche soir.... Celle du mercredi soir est plutôt "la maison france 5", et "Silence ça pousse" : de très bonnes inspirations pour la déco et le jardin (j'y ai découvert que le lino est BIO parce qu'à base d'huile de lin, de sciure de bois et de toile de jute) -> je disgresse

Ca fait "vieux", mais les séries, je n'arrive pas à suivre...

Un nouvel article de Terra Eco sur la situation du vrac :
comment donner du poids à la vente en vrac ?

Quatre Bretons embarquent pour un tour du monde zéro déchet

Je vous laisse chercher, je ne peux pas encore poster de liens